•  

     

     Je suis le prince errant

      J’vous dis pas mon tourment

      Ma tour est démolie

      Famille j’te remercie

     

      Le prix d’ la liberté

       S’paye pas sans intérêt.

     

      Un homme encore entier

      Une espèce en danger

       Si j’vis c’est pour aimer

       Tu vois qu’c’est pas gagné !

     

     

    Je suis le prince marrant

    J’aim’ mieux l’air con qu’méchant

    Question d’tempérament

    J’veux vivr’ toujours debout,

    J’peux m’coucher pour jouer l’loup

    Pas simpl’ d’joindr’ les deux bouts !

     

    Un homme encore entier

    Une espèce en danger

    Si j’vis c’est pour aimer

    Tu vois qu’c’est pas gagné !

     

    Je suis le prince contant

    Des cont’s j’en dis toutl’ temps

    Et si tu fais les comptes

    J’n’en ai aucune honte

    Car j’fais d’bien bell’s rencontr’s

    Sans compt’ du temps d’la montr’

     

    Un homme encore entier

    Une espèce en danger

    Si j’vis c’est pour aimer

    Tu vois qu’c’est pas gagné !

     

    Je suis le prince de sang

    Tu dis qu’c’est pas décent

    Mais on évite le dram’ !

    En fait j’élèv’ mon âme

    Qui s’fout des gros billets

    Sauf doux, ça m’fait rêver.

     

     Un homme encore entier

     Une espèce en danger

     Si j’vis c’est pour aimer

     Tu vois qu’c’est pas gagné !

     

     Je suis le prince chantant

    Artist’ au cœur d’enfant

    La lun’ sait mon mystère

    Mais j’ai les pieds sur terre

    J’pens’ pas à mes vieux jours

    J’espère vivre d’amour.

     

     Un homme encore entier

    Une espèce en danger

    Si j’vis c’est pour aimer

    Tu vois qu’c’est pas gagné !

     

    Je suis le prince charmant

    Qu’on sort au bois dormant

    Un baiser m’fait cadeau

    J’suis l’dauphin des Bobos

    Et j’sais vivr’ dans l’instant

    Pour qu’il m’offr’ son présent.

     

    Un homme encore entier

    Une espèce en danger

    Si j’vis c’est pour aimer

    Tu vois qu’c’est pas gagné

    (Sauf si tu veux m’embrasser)

     

    Texte: Marie Duval)
     

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    http://histoiredegratte.canalblog.com/archives/2008/10/25/11094653.html

     

     


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  • Je savoure cet instant

    De deux papillons blancs

    Virevoltant virevoltant

    Sous le ciel bleu de mon amour

    Toute mon âme te chante

    Toi dont la beauté me hante

    Je te rêve mon amante

    Toi mon ciel bleu ô mon amour

     

    Car tu es la brillante

    Tu es la pétillante

    Qui étoile ma vie

    Zoé tu es la vie

    Zoé tu es la vie

    Zoé tu es la vie

     

    Dans l’instant je troubadoure

    Sur mon cœur qui bat tambour

    Au rythme de mon amour

    Dans la grâce d’un enfant

    Toute enrobée de la rose

    Ton parfum sur moi se pose

    Mon amour n’a plus de dose

    Enivré je me répands

     

    Car tu es la brillante

    Tu es la pétillante

    Qui étoile ma vie

    Zoé tu es la vie

    Zoé tu es la vie

    Zoé tu es la vie

     

    Tu es la rivière miroitante

    Qui coule en mon âme aimante

    Et m’éclaire de scintillantes

    Étincelles de tes grands yeux

     

    Voguent voguent mes pensées

    Au fil de l’eau de mon aimée

    Qui coure avec des doigts de fée

    Et danse en mon cœur amoureux

     

    Car tu es la brillante

    Tu es la pétillante

    Qui étoile ma vie

    Zoé tu es la vie

    Zoé tu es la vie

    Zoé tu es la vie

     

    Archive (audio):

    http://histoiredegratte.canalblog.com/archives/2008/10/28/11141857.html


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  • Ton doux nom brûle mes lèvres

     Et je goûte la saveur de son miel

    Il baise et pique mon âme arc-en-ciel

    Pour recueillir ce que la tienne délivre

     

    R:

    O toi émerveillement d'enfant

    O toi resplendissement

     Tu fais de mon âme

    Une ruche sans alarme

    Pour secréter de divines larmes

     

    Je me fais discrète petite abeille

    Pour butiner l'immense champ de fleurs

     Tout à l'intérieur de ton coeur

    Parfums colorés dansant sous le soleil

     

    R:

    O toi émerveillement d'enfant

    O toi resplendissement

     Tu fais de mon âme

    Une ruche sans alarme

    Pour secréter de divines larmes

     

    Je cherche le nectar qui sommeille

    En le coeur éclairé par la cire

    Quelques grains d'pollen pour te dire

    Des "je t'aime" au creux de l'oreille

     

    R:

    O toi émerveillement d'enfant

    O toi resplendissement

     Tu fais de mon âme

    Une ruche sans alarme

    Pour secréter de divines larmes


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  • Je t'aime

    Dans l'herbe fraîche, matinale

    Dans la lumière qui point sur l'alentour

    Dans l'envoûtant chant des cigales

    Et dans la rivière qui chante au point du jour

     

    Je t'aime

    Dans le soleil qui darde ses rayons

    Dans la brise exhalant parfums de fleurs

    Dans les feuillages aux tendres chansons

    Et sur la terre déployant ses couleurs

     

    Je t'aime

    Dans le crépuscule qui rosit l'horizon

    Quand le monde s'apaise, devient silence

    Quand les oiseaux roucoulent leurs émotions

    Et l'étang devient magnificence

     

    Je t'aime

    A l'heure où le jour jette sa mue

    Dans le ciel s'allumant de milliers d'étoiles

    Dans la lune jouant les ingénues

    Et dans le nuage qui tendre se dévoile

     

    Je t'aime à chaque heure et chaque minute

    Dans les douces empreintes des pas qui s'effacent

    Dans les notes de guitare ou de la flûte

    Dans le temps arrêté ou le temps qui passe

     

    Je t'aime infiniment...

     

    (d'après un texte de Joëlle Eymery)

     


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